En raison du déconfinement, le stationnement résidentiel (longue durée – zone bleue) est redevenu payant depuis le 4 janvier 2021.
Pour les enfants nés entre le 1er janvier et le 31 décembre 2018, les inscriptions à la maternelle pour la rentrée 2021 / 2022 sont ouvertes jusqu'au 5 mars 2021 - Lire la suite.
Les tests de dépistage (virologiques ou PCR et sérologiques) permettent de savoir quelles sont les personnes qui sont porteuses de la Covid-19 et donc contagieuses. Ils contribuent ainsi à casser les chaînes de transmission du virus pour enrayer sa propagation. Afin de faciliter le dépistage de la Covid-19, les tests PCR sont totalement pris en charge par l'assurance maladie et ne nécessitent pas de prescription d'un médecin.
Vous souhaitez vous faire dépister ? Retrouvez, ci-dessous, la liste des centres de dépistage :
https://sante.fr/recherche/trouver/DepistageCovid
Mis à jour le jeudi 11 février 2021
Comment s’inscrire au service ?
Je crée mon compteDétail des tarifs, à partir du 1er février 2021
FRAIS
D'INSCRIPTION
TARIF HORAIRE EN JOURNÉE
FORFAIT NUIT (20h-8h)
Borne 3,7 kW
Borne 7 kW
Bornes 3,7 kW et 7 kW
15 €
1,50 €/h
2,50 €/h
6,00 €
Modalités de recharge
Plan des 6 stations de recharge électrique (37 bornes au total)
Le 8 février 2021
Des cartons seront à votre disposition dans le hall de la Mairie (du lundi au vendredi, de 8h à 12h et de 13h30 à 17h30 ; le samedi, de 8h45 à 12h), pour y déposer vos dons.
L’ADSF a besoin des produits suivants : Boîtes de masques / Brosses à dents et dentifrice / Brosses à cheveux, peignes / Crème pour le corps et pour les pieds / Déodorant / Gel douche / Gel hydroalcoolique / Lingettes pour bébé / Produits de beauté / Parfum / Serviettes périodiques / Boîtes de tampons / Serviettes de toilette / Shampoing.
Depuis 20 ans, l’Association pour le Développement de la Santé des Femmes permet l’accès à des soins et à la prévention de la santé des femmes éloignées du système de soins. Mais également de témoigner, d’informer et de sensibiliser les institutions ; de former les professionnels de la santé et d’informer les citoyens.
L’association dispose de deux programmes :
• Accès aux soins, prévention et promotion de la santé,• Santé mentale à destination des femmes en situation d’exclusion, sans domicile fixe et sans abri, en Île-de-France (et bientôt ailleurs).
Une équipe de 2 à 3 bénévoles ou plus (médicaux et/ou psychologues et bénévoles de toutes professions) effectue des maraudes du lundi au vendredi. Les équipes mobiles offrent une écoute bienveillante, créent un lien social, distribuent des kits d’hygiène. Elles évaluent les besoins en matière de santé globale et apportent un soutien psychologique.
Elles comprennent les parcours de vie et les barrières (sociales, culturelles, langue). Elles informent sur les gestes de santé, de prévention-dépistage, sur le système de soins. Elles orientent et accompagnent les femmes pour leur accès à des soins et leur autonomie en matière de santé.
Pour rejoindre et soutenir l’ADSF : Courriel : contact@adsfasso.org - Site : https://adsfasso.org/Facebook : ADSF Agir pour la santé des femmes - Twitter : _ADSF_
Publié le 26 février 2021
Inscrivez-vous en quelques clics et votez pour chacun des quatre projets présentés par la Ville de La Garenne-Colombes :
- Implanter un banc cyclo solaire urbain connecté sur l’esplanade Jean-Navon.- Installer des récupérateurs d’eau de pluie dans chaque groupe scolaire et dans une crèche (Verdun).- Favoriser le développement de la biodiversité par l’installation de nichoirs, permettant notamment la survie d’espèces en déclin.- Organiser des balades avec une caméra thermographique pour sensibiliser la population aux économies d’énergie dans l’habitat
Vous pouvez voter jusqu’au 8 mars 2021. Les projets qui auront obtenu le plus de voix seront déclarés lauréats. Le financement des projets interviendra à partir du 1er avril 2021.
Publié le 25 février 2021
Cette aide, qui concerne que la période du mois de novembre 2020, est versée en une seule fois et octroyée dans les limites du budget alloué au dispositif. Les entreprises multi-établissements peuvent demander une aide pour chaque établissement.
Sont concernés les commerces de proximité, les bars, les restaurants, les artisans (société ou indépendant) dont l’établissement est situé en Île-de-France, ayant moins de 10 salariés et un chiffre d’affaires inférieur ou égal à 2 M€. Mais également les locataires auprès d’un bailleur autre que social ou public et n’ayant pas bénéficié d’une exonération ou d’une annulation de loyer en novembre 2020.
Si vous êtes éligible à cette aide, vous devez déposer votre demande en ligne sur la plateforme mesdemarches.iledefrance.fr. Toutes les pièces nécessaires à la constitution de votre dossier sont consultables sur www.iledefrance.fr/relance-commerces/aide-loyer. La Région se fixe pour objectif de vous verser cette aide sous un mois à partir du moment où votre dossier est déclaré complet.
La requalification de rues, pour les rendre plus belles, plus agréables, plus sûres, mais aussi accessibles à tous, est un travail indispensable, mais de longue haleine qui nécessite un budget conséquent. Cela ne peut donc se faire que progressivement. Après la place de La Liberté ou l’avenue Foch, la rue de l’Arrivée ou encore la rue Gustave-Rey ces dernières années, c’est désormais au tour des rues Yves-le-Caignard et Louis-Jean de bénéficier d’un complet réaménagement.Situées au nord du quartier des Champs-Philippe, ces deux rues vont profiter d’un budget de près de 2 M€ pour se refaire une beauté. Avant de s’attaquer à cet embellissement, des travaux préparatoires ont déjà été effectués l’an dernier pour le renouvellement des réseaux enterrés de conduites d’eau potable et de gaz naturel et la libération des emprises publiques au droit du groupe scolaire René-Guest. Si les aménagements sont proches, mais pas identiques, elles bénéficieront toutes deux de la plantation de 68 arbres qui vont permettre dans les prochaines années de lutter efficacement contre les effets d’îlot de chaleur urbain en continuité de la végétation présente dans le parc de La Sablière qui avait été déjà réaménagé par la municipalité. Elles recevront aussi chacune un double-sens cyclable, qui permet de disposer d’un sens réservé aux cyclistes. Des places de stationnements dédiées aux personnes à mobilité réduite et des emplacements pour les véhicules deux-roues motorisés seront également disposés le long des rues réaménagées.>La rue Yves-le-CaignardEn plus des éléments indiqués ci-dessus, l’intégralité de l’environnement de la rue Yves-Le-Caignard va être revue. Les trottoirs seront élargis, les stationnements repositionnés, l’éclairage public évoluera en LEDs, moins consommatrices d’énergie. L’aménagement passe également par un retour au sens de circulation d’origine permettant d’accéder à la rue Yves-Le-Caignard à partir du boulevard National ainsi que la suppression des places de stationnements provisoires à cheval sur le trottoir le long de la clôture de la voie ferrée. Afin de maintenir les accès et une partie du stationnement pendant la réalisation des travaux, ces derniers seront répartis en trois phases. Rappelons que le parking public du Théâtre, à proximité, dispose de 350 places accessibles de jour comme de nuit.La rue Louis-Jean Les travaux de requalification de la rue Louis-Jean seront, quant à eux, réalisés cet été en raison de la proximité du groupe scolaire René-Guest. En plus de ceux déjà indiqués plus haut (arbres, double sens cycliste), ils porteront sur la mise en accessibilité des trottoirs pour faciliter le déplacement des personnes à mobilité réduite, la rénovation de l’éclairage public, qui passe en LEDs également, ainsi qu’un aménagement de sécurité au droit de l’accès de l’école avec un pavage afin de renforcer l’attention des automobilistes. Le parvis sera ainsi traité depuis le seuil de l’établissement scolaire jusqu’à l’entrée du parc de La Sablière en vis-à-vis.Les travaux de requalification de ces deux rues, qui doivent, sauf imprévus, être exécutés d'ici septembre, s’inscrivent donc en continuité des aménagements déjà réalisés au sein du quartier des Champs-Philippe et respectent ainsi une homogénéité du gabarit, la qualité des espaces publics et un confort d’usage pour les piétons. Les principales données techniques• Longueur des voies réhabilitées : 550 m• Trottoirs de 2 m de large minimum, accessibles pour les personnes à mobilité réduite• Marquage cycliste sur la chaussée avec double-sens cyclable.• Adaptation des places de stationnement des véhicules• Plantation de 68 arbres• Installation de jardinières plantées• Installation de 22 candélabres de 7 m de hauteur à luminaires à LEDs• Travaux de février 2021 à septembre 2021 et plantations des arbres en décembre 2021.Une résidence d’accueil mixteCes travaux de réhabilitation des deux rues arrivent après l’installation d’une résidence d’accueil mixte « Yves-Le-Caignard » qui a été construite à l’angle des rues Yves-Le-Caignard et des Champs-Philippe. Cette résidence, initiée par la Ville de La Garenne-Colombes, construite par le bailleur « Toit et joie » et gérée par l’association Aurore, réunit une pension de famille et un centre d’hébergement d’urgence. La mixité sociale est ainsi pensée en véritable processus d’insertion de cette résidence, qui a ouvert ses portes au mois de septembre dernier et située au 13-17 rue Yves-Le-Caignard, comprenant 36 logements dont :• 27 logements destinés aux résidents d’une pension de famille• 8 logements destinés à l’hébergement d’urgence• 1 logement non conventionné, logement d’hôteL’ensemble de ces travaux a bénéficié de subventions accordées à la Ville de La Garenne-Colombes :- 150 000 euros par Paris Ouest La Défense (POLD).- 870 208 euros par la Région Île-de-France dans le cadre du contrat d’aménagement régional.
LGC Infos : Nous vous avions découvert, en ouverture de saison, dans Le Cercle de Whitechapel, qui a reçu un très bel accueil du public. Vous répétez désormais Les Voyageurs du Crime, une pièce au cours de laquelle l’auteur, Julien Lefebvre, nous propose une enquête haletante qui se déroule une dizaine d’années après la première. Dites-en nous un peu plus.
Ludovic Laroche : Nous sommes en 1908 et l’Express d’Orient (qui deviendra plus tard l’Orient Express) quitte la Turquie déchirée par une guerre civile. À bord du célèbre train, on retrouve, entre autres, nos trois héros du Cercle de Whitechapel : Bram Stoker, George Bernard Shaw et Arthur Conan Doyle. Ce dernier, que son récent veuvage a rendu taciturne, a besoin de se changer les idées : ses deux amis décident donc de l’emmener faire un grand voyage. Très rapidement, une jeune femme crie à qui veut l’entendre que sa mère a disparu. Le problème, c’est que personne n’a vu monter cette femme et personne n’a même la preuve de son existence. Le seul qui pourrait conforter les dires de la demoiselle s’appelle Luca, un des chefs de train. Malheureusement, il est retrouvé assassiné dans un compartiment. Disparition, meurtre et mensonges en série sont au cœur de ce huis clos dont l’action se déroule sur toute une nuit…
LGC Infos : Dans ces deux pièces de Julien Lefebvre, vous incarnez sir Arthur Conan Doyle. Que ressentez-vous pour ce personnage ?
Ludovic Laroche : J’ai beaucoup d’affection pour lui. J’ai déjà joué des personnages ayant réellement existé (Talleyrand notamment), mais incarner cet auteur, véritable génie dont les personnages sont célèbres, est extrêmement jouissif pour un acteur. J’ai lu beaucoup de choses sur lui, mais finalement, c’est un homme qu’on connaît assez peu. J’ai ainsi pu composer ce personnage et y apporter une certaine liberté, à la fois avec ma propre personnalité, mais aussi avec les images d’Épinal qu’on a de lui. Entre Le Cercle de Whitechapel et Les Voyageurs du Crime, 10 années ont passé. Conan Doyle a évolué, c’est un personnage beaucoup plus sûr de lui, mélange de Sherlock Holmes et d’Hercule Poirot. Jouer ce personnage est un vrai cadeau pour moi.
LGC Infos : La comédie policière est-elle un genre particulièrement adapté au théâtre ?
Ludovic Laroche : Pour être tout à fait honnête, au départ, je ne le pensais pas. Contrairement au roman, au cinéma ou à la série, où le policier est un genre très apprécié, le théâtre français ne laisse pas beaucoup de place aux comédies policières. Mais finalement, Julien Lefebvre a su me convaincre du contraire, en construisant, d’abord avec Le Cercle de Whitechapel, une pièce à suspens. C’est finalement le contexte historique et sa volonté de parler de Jack L’Éventreur qui a fait la pièce telle qu’elle est. Ce genre fonctionne au théâtre, mais il n’est pas simple à mettre en place, notamment parce qu’il fonctionne avec beaucoup de flashbacks. C’est pourquoi il faut être extrêmement équilibré, dans la mise en scène comme dans la structure de la pièce, entre le verbe et l’action.
LGC Infos : Y aura-t-il une suite ?
Ludovic Laroche : Tout à fait : ces pièces s’inscrivent dans un triptyque. En filigrane, Julien Lefebvre veut montrer l’évolution de Conan Doyle par rapport à la magie et à l’ésotérisme. Il n’y croyait pas du tout à l’origine, mais la perte de sa première femme puis de son fils l’y conduira finalement.
LGC Infos : Vous avez été en résidence au Théâtre de La Garenne pendant une dizaine de jours en janvier. Pourquoi avoir choisi notre Théâtre ?
Ludovic Laroche : Tout simplement parce que nous savions que nous allions y être bien accueillis et accompagnés ! Par ailleurs, le Théâtre est extrêmement bien équipé, accessible et possède une équipe efficace, volontaire et généreuse. La Municipalité a par ailleurs une réelle volonté d’aider les compagnies. Bref, tous les critères étaient réunis pour une résidence agréable !
LGC Infos : J’imagine que vous avez hâte de remonter sur scène. Vivrez-vous ce retour sur scène différemment après cette année particulièrement éprouvante ?
Ludovic Laroche : Quand on crée un spectacle, qu’on le joue, qu’on s’arrête quelques mois et qu’on le reprend, c’est déjà un événement en soi. Là, ce sera bien plus qu’un événement, ça aura un goût particulier après cette longue période de sevrage. On se demande notamment si on sera à la hauteur. En revanche, on a une certitude : celle que le public sera là et qu’on sera forcément très émus.
NB : Vous aurez le plaisir de découvrir Les Voyageurs du Crime lors de la saison culturelle 2021/2022.
À cette occasion, Anthony Magnier, directeur artistique de la compagnie, a présenté ses adaptations de L’École des Femmes, de Molière, et de Beaucoup de Bruit Pour Rien, de Shakespeare.
LGC Infos : Pouvez-vous me parler de la Compagnie Viva ?
Anthony Magnier : La Compagnie Viva, qui s’appelait auparavant Viva la Commedia (je viens de la Commedia dell’arte) existe depuis près de 20 ans. Mon idée était d’avoir une troupe et d’avancer avec des partenaires fidèles, ce qui est le cas puisque parmi les comédiens, certains sont là depuis le début. Peu à peu, j’ai arrêté la Commedia dell’arte et j’ai glissé vers des choses plus contemporaines, plus modernes. Ma première expérience de ce type a été avec Andromaque, adaptation pour laquelle j’ai souhaité une mise en scène très cinématographique, avec une image très soignée.
LGC Infos : Que souhaitez-vous transmettre au public avec vos adaptations ?
Anthony Magnier : Ce qui est essentiel pour moi, c’est d’apporter la culture à tous et de jouer pour tout le monde. S’il faut par exemple faire des concessions sur la mise en scène pour pouvoir jouer une pièce en extérieur ou adapter le texte pour qu’il soit accessible au plus grand nombre, cela ne me dérange pas, bien au contraire. Je ne monte que des classiques (essentiellement Feydeau, Molière et Shakespeare) et j’ai vraiment cette volonté de rendre le texte intelligible à tous. Mais aussi de le faire résonner avec l’actualité.
LGC Infos : Comment travaillez-vous avec vos comédiens ?
Anthony Magnier : Avant chaque création, je fais pendant une à deux semaines ce qu’on appelle un « travail à table ». Je décortique le texte avec les comédiens afin qu’ils comprennent, entendent et ressentent chaque mot, chaque phrase qu’ils diront sur scène, mais aussi qu’ils intègrent les intentions de l’auteur. Cette étape est primordiale pour moi.
LGC Infos : Vous proposez une adaptation très moderne de L’École des Femmes, de Molière, et de Beaucoup de Bruit Pour Rien, de Shakespeare dans lesquelles vous insistez sur la relation homme-femme et la place de chacun dans la société. Pourquoi ce choix de pièce ?
Anthony Magnier : Shakespeare, dont je traduis les textes des pièces que j’adapte, m’a toujours beaucoup inspiré. Cela faisait un moment que je voulais adapter Beaucoup de Bruit Pour Rien. Quand je me suis lancé dans ce projet, nous étions en pleine affaire Weinstein et le mouvement #Metoo qui s’en est suivi. Comme tout le monde, cela m’a profondément touché et j’ai eu envie, avec cette pièce, de proposer quelque chose de nouveau par rapport à ce que je faisais d’habitude. L’idée m’est alors venue d’inverser les rôles et de transformer le propos. Ainsi, dans mon adaptation, ce ne sont plus les hommes qui reviennent de la guerre, mais les femmes. Cette adaptation est le fruit de longues heures de discussions et de débats animés avec les comédiens. Concernant L’École des Femmes, cela faisait un moment que je voulais monter cette pièce. Pour cette adaptation, j’ai beaucoup travaillé sur la femme-objet, la femme qu’on manipule.
LGC Infos : Pouvez-vous m’en dire un peu plus sur cet « Avignon en Régions » que vous avez organisé ?
Anthony Magnier : Quand nous avons su que le Festival d’Avignon était annulé, nous avons été très inquiets, comme beaucoup de compagnies. Nous avons alors proposé à quelques lieux partenaires, qui sont fidèles à notre compagnie, d’organiser cet « Avignon en Région » : si les programmateurs ne peuvent pas venir à nous, alors nous allons à eux. La Municipalité de La Garenne a accueilli cette idée avec enthousiasme et nous a immédiatement proposé de nous recevoir en résidence au Théâtre. Ici, nous avons la chance d’être écoutés dans les besoins de la Compagnie et nous voyons à quel point le soutien au monde de la culture est important.
Beaucoup de bruit pour rien, de William Shakespeare
L'École des Femmes, de Molière
18 janvier 2021
Dès que l’on rentre dans les périodes hivernales, la Ville met en place son Plan de viabilité hivernale, souvent appelé « Plan neige », sous l’égide de la Préfecture. Depuis le 1er novembre, un PC Neige est donc en place à La Garenne-Colombes afin de pouvoir déclencher à tout moment, ou anticiper même 72 heures avant, ce Plan soit à la veille d’un épisode neigeux, soit durant la nuit, soit en urgence si la météo n’a pas su détecter avec un peu d’avance l’arrivée des flocons blancs.
Intervenir au plus vite sur les chausséesEn cas d’épisode neigeux, la priorité porte sur le dégagement du réseau routier garennois afin d’éviter que la neige ou le verglas ne bloquent la circulation, et pour limiter les risques d’accident. Dès que l’alerte est donnée par Météo France à la Préfecture des Hauts-de-Seine, le Plan Neige est activé. Il permet de mobiliser 20 agents volontaires du Centre technique municipal (et 10 en renfort) qui ont reçu une formation pour conduire les véhicules, installer la lame et l’épandeur… De même, vingt gardiens de sites communaux (Hôtel de Ville, écoles, squares, stades, piscine…) et dix agents de la société chargée du nettoyage de la voirie sont également mobilisés.
Si l’alerte a eu lieu la veille, ce qui représente la majorité des cas, tout a été alors préparé pour agir dès que les premiers flocons tombent, et même avant : les deux saleuses de 5 m3 et les réserves de sel sont alors entreposées sur le parking extérieur de l’Hôtel de Ville, afin de pouvoir être utilisées sans délai. Les autres équipements (épandeur, raclettes, pelles, balais) sont disponibles dans les bâtiments communaux. Les autres véhicules qui peuvent être mobilisés pour l’occasion sont vérifiés et prêts à intervenir depuis l’Hôtel de Ville. Peu avant l’arrivée prévue de la neige, dès 3 h du matin si nécessaire, les agents volontaires procèdent à un salage préventif sur les axes principaux. En cas d’urgence, si la neige commence à tomber sans prévenir, une lame et un épandeur peuvent être installés sur un véhicule communal. Deux tracteurs, habituellement utilisés pour les activités des stades et du cimetière, sont également dotés d’une lame et d’un épandeur et sont capables d’intervenir dans les cours d’écoles, sur les places, petites chaussées et sur les grands trottoirs. À partir de 7 h du matin, les gardiens des bâtiments communaux et les agents de la société de nettoyage entrent également en action pour dégager les accès à ces équipements.
Une organisation précise Tout au long de l’épisode neigeux, l’intervention des équipes s’organise selon un plan bien précis. Le réseau routier garennois est classé en trois niveaux. Le niveau 1 est dégagé en premier. Il concerne les axes principaux, les circuits de transports en commun et les voies d’accès aux établissements scolaires : avenue de Verdun-1916, rue Jules-Ferry, rue Veuve-Lacroix, boulevard National, rue Léon-Maurice-Nordmann, place de Belgique et passage Ernest-Renan, boulevard de la République, rond-point du Souvenir-Français et de l’Europe, rue de L’Aigle, avenue du Général-De-Gaulle, place de la Gare-des- Vallées, rue du Transvaal, rue de l’Arrivée, avenue de l’Europe, rue Pierre-Joigneaux, avenue Joffre et rue Kléber. Durant la journée, les équipes interviennent ensuite sur les axes secondaires puis sur les petites voies. Malgré ce déploiement matériel et humain, il faut aussi rester humble. Dans les cas extrêmes, lorsque la neige tombe longuement en abondance sur un sol refroidi, il ne reste, malgré le courage et la bonne volonté de chacun, qu’à prendre patience et admirer le joli tapis blanc qui se dépose !
Trois questions à Jean-François Dransart, adjoint au Maire en charge de la Voirie
La Garenne-Colombes Infos : Comment se passe le déclenchement du Plan Neige ? Jean-François Dransart : Tout est centralisé au niveau de la Préfecture qui se charge de déclencher ce Plan auprès des communes après avoir été alertée par Météo France. Pour les Garennois, le mieux est de regarder la météo, mais surtout de s’inscrire aux alertes SMS de la Ville : en cas d’épisode neigeux, une alerte est alors envoyée sur leur téléphone portable. La Ville informe également les habitants à travers son site internet qui donne des précisions en temps réel pendant les épisodes neigeux, mais aussi avec les panneaux d’informations digitaux disséminés à travers la commune.
LGCI : Quels conseils donnez-vous en cas de chutes de neige ? J-F. D. : En premier lieu, ne se déplacer que si cela est absolument nécessaire, et privilégier alors les transports publics. Les voitures doivent rouler à vitesse réduite, sans à-coups, en gardant des distances de sécurité avec les autres véhicules et en laissant passer prioritairement les véhicules chargés du déneigement.
LGCI : Doit-on dégager la neige devant chez soi ? J-F. D. : Oui, car en cas de verglas ou de chute de neige, chacun est responsable du déneigement et de la lutte contre le verglas devant son immeuble, sa maison, son commerce ou son local professionnel. Tout cela est réglementé par un Arrêté permanent du 14 janvier 2008. Les piétons doivent pouvoir circuler sans danger. Si une personne se blesse devant une habitation ou un immeuble non déneigés, la responsabilité du propriétaire peut être engagée. Afin d’aider les Garennois, la Ville met gratuitement à leur disposition du sel de déneigement. Les bacs sont reconnaissables par une étiquette et les autres bacs sont à destination des agents de la Ville.
Tarifs uniques : 2€ pour la projection / 5€ pour la projection et l'atelier
ATELIER GRATUIT pour le parent accompagnant
Billetterie en ligne
Durée : 40min + atelier de 40min
Victime d’un accident, Marona, une petite chienne, se remémore les différentsmaîtres qu’elle a connus et aimés tout au long de sa vie. Par son empathie sansfaille, sa vie devient une leçon d’amour.Un atelier suivra la projection : « Je rencontre un chien dans la rue : les bonset les mauvais comportements envers le chien » Animé par une professionnelledu monde canin et formée par l’association PECCRAM, l’intervenante propose auxenfants un atelier pédagogique et ludique pour les sensibiliser à la connaissancede cet animal. Une animation unique pour apprendre à mieux connaître le chien !
En présence du chien Hélie.
L’atelier est limité à 25 enfants.Les enfants sont sous la responsabilité de leurs parents.
DISTRIBUTION Cinéma Public Films • RÉALISATEUR Anca Damian • INTERVENANT Aline Monvoisin
Tarif unique : 1€ - BIlletterie en ligne
Durée : 1h15
Conférence Art
PAR Des Mots et des Arts
CONFÉRENCIÈRE : Amélie Sabatier
L’apparition de l’impressionnisme a créé beaucoup de réactions dans le monde de l’art à la fin du XIXe siècle. La fragmentation de la touche et les couleurs vives employées étaient en totale opposition à l’art néo-classique plébiscité à cette époque par l’Institut et l’école des beaux-arts. Pourtant ce courant de peinture s’inscrit dans la continuité de l’École de Barbizon et des premiers peintres qui se sont rendus sur le motif. Nous étudierons ces artistes et leurs œuvres qui ont ouvert la porte à l’abstraction au début du XXe siècle.
⇒ Des Mots et Des Arts est née de l’envie d’apporter un vent de nouveauté sur l’histoire de l’art à travers une médiation à la fois pointue mais accessible. Grâce aux intervenants spécialistes, venez prendre le temps de découvrir et apprécier l’art qui vous entoure.Site internet : www.desmotsetdesarts.com
Tarif unique : 1€Billetterie en ligne
Conférence Histoire
CONFÉRENCIERS : Philippe Le Port et Françoise Mary
PAR Les Amis de l’Histoire de Colombes, Bois-Colombes et La Garenne-Colombes.
"Haïti à La Garenne-Colombes ! Un promeneur attiré par l’exceptionnel décor en faïence d’un étonnant petit pavillon s’empresse alors de partager sa découverte avec l’une de ses connaissances, passionnée de céramique."C'est ainsi que commence la découverte d'un témoin de l'Exposition universelle de 1889 (celle de la Tour Eiffel) aujourd'hui toujours visible, à peine modifié, dans une petite rue tranquille de La Garenne-Colombes.Ces passionnés de céramique vous présentent l'extraordinaire histoire de ce petit bijou du passé.
⇒ L’association Les Amis de l’Histoire de Colombes, Bois-Colombes et La GarenneColombes a pour but la recherche et l’étude historique, la mise en valeur et la sauvegarde du patrimoine historique de Colombes, Bois-Colombes et La Garenne-Colombes. Venez découvrir ou redécouvrir ce patrimoine qui vous entoure.
Gratuit
Berten D’Hollander et Nicolas Lestoquoy partagent la scène depuis 10 ans.Attachés au répertoire original pour leur duo flûte / guitare, ils ont enregistréune intégrale des oeuvres de Mauro Giuliani, dont le 3e volet sortira fin 2021.Leurs nombreux concerts autour du monde ont offert à ce duo une complicité horsdu commun et un répertoire mettant en valeur toutes les qualités de ces musiciensau parcours atypique. Leur programme est toujours un moment riche d’émotionset de sourires nés de la proximité délicate que ces deux virtuoses instaurentavec brio. L’occasion pour eux d’en dire plus sur les compositeurs qu’ils joueront.Un beau duo à ne pas rater.Nicolas et Berten se sont rencontrés en 2011 lors d’une classe de maître qu’ilsont donné ensemble au château de Chabenet en France (Indre). D’emblée, il aété évident qu’entre ces deux personnalités débordantes d’énergie allait naîtreune profonde affinité. Leur complémentarité se traduit presque immédiatementau travers d’une collaboration artistique, où ils envisagent rapidement d’enregistrerl’intégrale de l’oeuvre de Mauro Giuliani. Cette musique s’intègre étroitementd’un point de vue stylistique et par son caractère à la personnalité du duo. En effet,la musique de Giuliani, d’une très grande virtuosité, demande beaucoup de rigueurmais son interprétation requiert un lyrisme et une « frivolité » assumée.
FLÛTE Berten D’Hollander • GUITARE Nicolas Lestoquoy
Musicien, compositeur, contrebassiste de formation classique (Prix du ConservatoireNational Supérieur de Musique de Paris) et passionné de musique populaireet d’improvisation, Olivier Moret débute sa carrière comme contrebasse solo àl’Orchestre des Concerts Lamoureux et comme professeur à l’ENM d’Evry. CélineRivaud commence l’apprentissage du violon classique au conservatoire de Fontenay-sous-Bois. Elle obtient son diplôme de fin d’études mais c’est dans la musiqueirlandaise qu’elle décide de creuser son sillon. Elle s’y perfectionne ainsi auprès deviolonistes français tels que Jean-Claude Philippe ou Vincent Leutreau, puis Irlandaiset Américains, comme Martin Hayes ou Liz Carroll. Ils se rencontrent et créentOba Duo, qui puise son énergie dans les musiques bretonnes et irlandaises, mêlantcompositions originales, musiques traditionnelles et improvisation. Un petit air dejazz celtique où chacun se prend à inverser les rôles, explorant son instrument làoù l’on ne l’attend pas forcement.
CONTREBASSE Olivier Moret • VIOLON Céline Rivaud
Durée : 1h20Tarifs : Enfant, 9€ / Abonnés, 10€ / Réduit, 12€ / Plein, 14€Billetterie en ligne
L’association Choeur et Orchestre de Chambre Telemann, née en janvier 1982, estl’héritière directe de l’Ensemble Choral et Instrumental de la Maison des Jeunes et dela Culture de Colombes. Cette institution, qui regroupe actuellement en son sein unetrentaine de choristes et un orchestre de chambre de très bon niveau, se produit enpublic lors de concerts de très grande qualité. Ces mêmes concerts sont très souventdonnés dans des communes de la région parisienne, voire en des lieux prestigieux deprovince, en proposant un répertoire varié allant de la musique baroque à la musiqueromantique. Pour cette soirée musicale, le Choeur et Orchestre de Chambre Telemannrend hommage au compositeur Ludwig van Beethoven à l’occasion du 250e anniversairede sa naissance et vous propose quelques-unes de ses oeuvres peu connues dugrand public. Vous aurez également le plaisir de découvrir un magnifique Concertopour clarinette de Carl Maria von Weber.
AU PROGRAMME :• Ouverture des Ruines d’Athènes Op. 113, de Ludwig van Beethoven• Symphonie No. 4 Op. 60, de Ludwig van Beethoven• Concerto pour clarinette No. 2 Op. 74, de Carl Maria von Weber, avec Charlotte Laville en soliste
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